Une journée le long de l'autoroute, sur l'ancienne route qui
mène à Athènes. Je vois régulièrement des panneaux ATHINA. Je suis soulagée!
C'est bon. Je traverse des champs, des "vergers" d'oliviers, je
ramasse des amandes. D'ailleurs, j'ai vu des ouvriers en pleine action dans la
récolte des amandes.
Je fais des pauses et me rassasie de barres de sésame. Arrivée dans la ville, une dame, Evangelia, m'interpele. Elle parle allemand. Elle est partie à 17 ans et passe désormais sa retraite en partie en Allemagne et en partie en Grèce. Elle m'invite pour le café, après. Le musée est fermé, mais on m'emmène chez un artiste-photographe. Celui-ci me dit: "Je n'ai pas de temps pour cela". Il ne veut pas non plus m'aider dans ma quête d'artistes. FUCK! Tant pis. Je retourne chez Evangelia et je passe la soirée chez elle.
Je fais des pauses et me rassasie de barres de sésame. Arrivée dans la ville, une dame, Evangelia, m'interpele. Elle parle allemand. Elle est partie à 17 ans et passe désormais sa retraite en partie en Allemagne et en partie en Grèce. Elle m'invite pour le café, après. Le musée est fermé, mais on m'emmène chez un artiste-photographe. Celui-ci me dit: "Je n'ai pas de temps pour cela". Il ne veut pas non plus m'aider dans ma quête d'artistes. FUCK! Tant pis. Je retourne chez Evangelia et je passe la soirée chez elle.
La voisine nous rejoint. Elle me raconte qu'elle eu 3 fils,
dont le dernier qu'elle a "dû" donner à sa sœur parce que celle-ci ne
pouvait en avoir, imposition de la mère et belle-mère. Je suis impressionnée,
c'est une soirée où l'on parle des maris défunts, de la malchance en amour…
Cela aussi fait partie du projet. Je veux tout vivre et tout intégrer. Tout
doit avoir une place. Le bons comme les côtés les plus douloureux.
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