Au loin, la plage. Chemins et sentiers de campagne entre les
oliviers. En pleine montagne, je ne vois pas les aspérités de la route, ma
cheville cède et je tombe de tout mon plein. J'ai de la peine à me relever à
cause de mon sac. C'est drôle. Je suis dans ce petit village qui paraît
complètement mort. Avant de grimper sur les hauteurs, je m'arrête chez des gens
très typés, qui habitent dans de grandes tentes blanches assez bien aménagées.
Je leur demande depuis combien de temps ils vivent ici. Au moins 30 ans.
Immense famille. Je suis chez les hommes. On rigole. Pas besoin de communiquer
par des mots. Assez expressifs. Une camionnette arrive, femmes et enfants remplissent
l'arrière. Ils sont allés à la plage.
Je comprends qu'ils travaillent dans les oliveraies ou peut-être les champs de coton. Ils m'offrent de l'eau et je m'y mets. Ascension de 570 mètres pour atteindre un sommet. Il y a une bergerie, quelques bicoques. Et là, je rencontre Georgos qui fait son entraînement quotidien. Il m'indique la direction et me prévient de prendre garde aux chiens en liberté, raison pour laquelle il emporte avec lui une barre de fer!
Je comprends qu'ils travaillent dans les oliveraies ou peut-être les champs de coton. Ils m'offrent de l'eau et je m'y mets. Ascension de 570 mètres pour atteindre un sommet. Il y a une bergerie, quelques bicoques. Et là, je rencontre Georgos qui fait son entraînement quotidien. Il m'indique la direction et me prévient de prendre garde aux chiens en liberté, raison pour laquelle il emporte avec lui une barre de fer!
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