Klaus Meyer m’a invité chez lui, m’a montré ce qu’il faisait, son monde incroyable, rempli d’objets créés par ses mains et esprit ingénieux, thématisant la rotation. Tout était en mouvement. Ce monsieur, passionné d’astronomie et de sciences naturelles, professeur de gymnase à la retraite, me faisait découvrir sa manière de concevoir le monde. Finalement, avec un peu de culot, j’ai demandé si je pouvais camper dans son jardin. Nous avons terminé la soirée, à trois, avec Gisela, sa femme, autour d’un verre de vin et de discussions sur l’art. Le lendemain, Klaus et Gisela m’ont conseillé de rendre visite à un artiste dans un village voisin, Manfred Emmenegger Kanzler.
A peine arrivée à Ottersweier, qu’un jeune homme (oui, tu n’es pas vieux), me rattrape avec son vélo. Il se présente Andreas Blassmann et dit avoir entendu parler de mon projet. Il travaille pour un journal et souhaiterait écrire un article. J’étais sur le cul. (Désolée de ma grossièreté, mais c’est comme ca). Bon, ok. Pas de soucis. Je lui raconte que je me rends chez un artiste. Il m’accompagne. Finalement, on a été accueilli chez cet artiste et conversé à trois, sur l’art et le marché de l’art. Il y a quand même quelque chose que je ne comprenais pas, comment Andreas avait été au courant de mon projet? Gisela, chez qui j’avais logé, l’avait rencontré dans un café du coin et lui avait parlé de moi. Andreas s’est empressé d’aller chercher un appareil photo au bureau du journal et a sauté sur son vélo pour ne pas me manquer. Genial, oder? Also : Danke an Gisela und Klaus, Danke an Andreas und Manfred. Pour terminer l’histoire, j’ai été invité par l’artiste pour le repas de midi et puis, j’ai repris le chemin, avec une boule de terre à malaxer jusqu’à ce que la matière soit dure. Je remercie aussi la marque Kompass d’avoir commis cette erreur, sans ca, pas d’article.
A peine arrivée à Ottersweier, qu’un jeune homme (oui, tu n’es pas vieux), me rattrape avec son vélo. Il se présente Andreas Blassmann et dit avoir entendu parler de mon projet. Il travaille pour un journal et souhaiterait écrire un article. J’étais sur le cul. (Désolée de ma grossièreté, mais c’est comme ca). Bon, ok. Pas de soucis. Je lui raconte que je me rends chez un artiste. Il m’accompagne. Finalement, on a été accueilli chez cet artiste et conversé à trois, sur l’art et le marché de l’art. Il y a quand même quelque chose que je ne comprenais pas, comment Andreas avait été au courant de mon projet? Gisela, chez qui j’avais logé, l’avait rencontré dans un café du coin et lui avait parlé de moi. Andreas s’est empressé d’aller chercher un appareil photo au bureau du journal et a sauté sur son vélo pour ne pas me manquer. Genial, oder? Also : Danke an Gisela und Klaus, Danke an Andreas und Manfred. Pour terminer l’histoire, j’ai été invité par l’artiste pour le repas de midi et puis, j’ai repris le chemin, avec une boule de terre à malaxer jusqu’à ce que la matière soit dure. Je remercie aussi la marque Kompass d’avoir commis cette erreur, sans ca, pas d’article.